PREAMBULE ; Il n'est pas anormal d'arrêter la lecture de cet article avant la fin
Comment fabriquer un parcours qui sort des sentiers battus comme celui que je fais.
D'abord comme en cuisine, avoir une bonne idée et des bons produits: La Grèce, Les Météores, le mont Olympe...
Ensuite acheter une carte. Le guide n'est pas d'une grande utilité pour le parcours.
En Europe, une carte Michelin (merci Mr Michelin) est très bien pour les grandes lignes et les étapes.
Le Michelin Web est bien plus précis, il apparaît des routes qui ne sont pas sur le papier.
Les routes bordées de vert sont bien sûr à privilégier.
Passer ensuite à Google Map encore plus précis et comparer avec Michelin
Faire une trace avec Map très facile à manipuler (Merci Google).
Pour La Grèce beaucoup de routes sont visualisables avec Google Street pour savoir s'il y a asphalte.
La trace peut être lue sur Google Earth (il faut savoir faire) ce qui donne une bonne idée du relief
Après moults vérifications charger ces traces sur Base Camp (il faut savoir faire) pour pouvoir les mettre sur un GPS Garmin qui sera le guide sur la route (merci Mr Garmin) .
C'est mieux d'avoir la carte du pays sur le GPS ce qui est le cas en Europe sinon il faut acheter sur internet la carte du pays.
Tout ceci ne garantit pas l'absence de surprises qui arrivent obligatoirement et c'est çà qu'est marrant.
Enfin ne jamais laisser son cerveau dans le top-case .............
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Bonsoir
J'ai lu jusqu'au bout . Bon , cette méthode est pratiquable pour ceux qui ont un cerveau de geek , du matériel et de l'envie de modernisme . Une autre méthode est d'avoir une carte michelin tres peu détaillée , une idée approximative du lieu que l'on veut atteindre , toujours le plein d'essence fait (et bien sur une tente et un sac de couchage ) sans compter un sandwich et une bouteille d'eau . Et là , le stress est garanti , le paysage est presque secondaire -seul l'exceptionnel reste en mémoire et il est rare- et l'on arrive souvent dans des lieux improbables . Et , en général , on finit par réussir à rentrer chez soi . Tres heureux d'en avoir fini . Et , sans photo prise tres vite le souvenir s'estompe ce qui fait que l'on peut l'année suivante recommencer le même voyage qui seras différent tout en restant le même puisque l'on atteint jamais le but initial . Mais cela n'est pas grave : les voyages sont toujours des voyages interieurs . Et , là , purement égoistes . bertrand
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